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Retraite de la Transfiguration: Thème : Posséder la foi qu' il faut pour conquérir canaan

HISTORIQUE

En 1988, au cours d’une vision le Seigneur s’était révélé à AKOI Kouassi Philippe alors qu’il était encore un tout petit enfant. Dans cette vision, Il lui montrait ce que lui Dieu avait décidé de faire avec lui quand il serait grand : bâtir une communauté chrétienne puissante et forte. Pour attester de la véracité de cette vision, deux (2) signes lui avaient été donnés :
– Le premier était qu’il allait intégrer le Lycée Scientifique de Yamoussoukro, lycée d’excellence érigé par le président Félix Houphouët-Boigny, alors que ni lui ni aucun membre de sa modeste famille ne connaissaient son existence ;
– Le second signe était qu’après le Lycée Scientifique, il intégrerait l’Institut National Polytechnique Félix Houphouët-Boigny (INP-HB) de Yamoussoukro.
Ceci, en vue de sa formation pour l’œuvre à laquelle il avait été appelé. Et c’est ce qui se fit les années après. Il intégra le Lycée Scientifique à partir de la classe de 6ème jusqu’à la Terminale. Après le baccalauréat, il intégra l’INP-HB, comme annoncé par le Seigneur.
En 2002, alors en classe préparatoire commerciale, lors de ses méditations personnelles, dans les environs de l’INP-HB, précisément sur le sentier des villages au-delà de l’ESA (Ecole Supérieur d’Agronomie), AKOI Kouassi Philippe reçois une intime conviction du Seigneur quant à aider les hommes des zones rurales et tout homme qui n’a pas la connaissance des bienfaits de la parole de Dieu, à épouser désormais la parole de Dieu comme standard de vie, afin de vivre dans un monde meilleur.
La parole qu’il reçut ce jour-là est celle-ci: « Parce qu’ils ne me connaissent pas, ils sont la proie à la misère et à toutes formes de souffrance (maladies, malédictions, oppressions, mirages…). Veux-tu m’aider à les soulager, mon fils? »
Il répondit par l’affirmative avec les larmes aux yeux, parce que se trouvant en ce moment précis dans le village de Sidonie la Tigresse (une chanteuse traditionnelle Baoulé), où il n’y avait pas d’église catholique et où la précarité était plus que déroutante. Sur le chemin de retour vers la cité du centre de l’INPHB, il ne pouvait cesser de pleurer et intercéder pour ces différents villages traversés et qui semblaient des lieux de désolation extrême. En 2003, au cours d’une de ses retraites personnelles dans les lieux isolés, proches de l’INP, il reçoit la même motion de l’Esprit, mais avec une vue plus étendue: le nombre de désœuvrés était effrayant, mais personne pour les aider à se prendre en charge, personne pour leur montrer la voie de la lumière du Christ. Les villages et campements traversés laissaient tous le même décor de misère, de précarité, de fétichisme, d’occultisme… Il prend alors la décision résolution ferme dans le Seigneur de le servir avec un cœur résolu afin de le soulager de sa peine, car il voyait comme le Christ en pleurs pour cette population. Premier trimestre 2004, AKOI Philippe se retire au cours d’une période de jeûne vraiment austère pour prier et méditer. Il logeait en ce temps-là à l’INP Sud. Ce jour-là, réveillé autour de 9h par la douce voix du Saint-Esprit qui lui demande de se rendre vers un endroit où il veut lui parler, il s’exécute rapidement. Dès qu’il sort du bâtiment, le Saint-Esprit lui demande de prendre un bâton juste par terre devant lui sur le chemin, car disait la voix, la route serait longue. Effectivement, il marcha longtemps sur des kilomètres. En route, son compagnon, le Saint-Esprit lui demande d’intercéder pour plusieurs sujets qu’il lui met à cœur. Il lui dit par ailleurs qu’il devait dès maintenant s’adresser à Dieu jusqu’au point de rencontre, après quoi, il devait se taire pour l’écouter. Ce qu’il fit. Il arrive donc au sommet d’une petite élévation (colline) et entend qu’on appelle quelqu’un à plusieurs reprises du nom de Moïse. Se trouvant dans une zone de plantation et de champs, il se dit qu’il s’agissait certainement de quelqu’un dans les environs qu’on appelle. Et il s’étonnait de savoir que personne ne répondait. Cela l’a quelque peu énervé puisque perturbant son isolement. C’est alors qu’il entendit la voix toute proche comme une bouche collée à ses oreilles répéter la même chose. Alors il posa la question suivante : “Seigneur, est-ce de moi que tu parles?” La voix répondit “Oui, c’est de toi qu’il s’agit” Il reprit: Mais, je ne m’appelle pas Moïse. La voix: Que tiens-tu en main? Lui : Un bâton La voix: Qui de mes serviteurs était caractérisé par le bâton? Lui : Moïse La voix: Oui, tu as raison. Et toi, parce que je t’ai choisi et changé ton identité, je t’appelle Moïse. Tu devras aller partout où je t’enverrai pour libérer mon peuple sous oppression, parce que ne me connaissant pas et minimisant la puissance salvatrice et libératrice contenue dans ma parole. Lui : Mais, Seigneur…? La voix: C’est toi que j’ai choisi parmi mes enfants, avant même que tu ne viennes dans ce monde. Tu m’appartiens et je t’ai réservé à ramener le cœur des fils vers Votre Père que je suis. N’as-tu pas mal de savoir comment tes frères souffrent dans ce monde? Ne veux-tu pas être consolation pour mon cœur si meurtri? Lui : Si Seigneur. Mais je suis si faible… La voix: Je te rendrai fort et tu seras consolation pour la multitude. Mes paroles seront à tes lèvres et ton intelligence surpassera la plupart de ceux qui se mettront en travers de ton chemin. Ma puissance sera avec toi comme elle a été avec Moïse. J’accomplirai des exploits terrifiants avec toi et, les hommes craindront mon nom car ils confesseront que c’est moi qui agis en toi. Lui : Mais…Mais… (soupirs) D’accord Seigneur ! Fais de moi ce que tu veux, conformément à tout ce que tu viens de dévoiler à ce pécheur impénitent que je suis. La voix: Je le ferai! Je le jure par ma droite.

Il revint en cité autour de 16h et refusa de mettre par écrit, mais de préserver cette rencontre dans son esprit et vivre désormais sa vie chrétienne avec cette nouvelle orientation.

2005: Il retourne à l’endroit où le Seigneur lui avait révélé sa future mission avec plus de précision qu’en 1988. Mais, cette fois il se fit accompagner par Philomène qui deviendra 4 ans plus tard son épouse. Arrivé au pied de la colline, il demanda à son amie de l’attendre le temps pour lui de consulter à nouveau le Seigneur. Arrivé au sommet de la colline, le Seigneur lui demanda de regarder en direction de Philomène et qu’il confirmera son appel par la communication de ce qu’il lui avait révélé un an plus tôt à Philomène. Il vit effectivement Philomène portée par l’ivresse de l’Esprit avec des pleurs et des danses à l’Esprit. Il demanda au Seigneur, pourquoi il ne lui a pas parlé directement et a préféré s’adresser à Philomène. Le Seigneur lui répondit que son action à son endroit avait besoin de témoin afin qu’au temps convenu le témoin lui apporte le soutien dont il aurait besoin devant tous. Il remercia le Seigneur et échangea de nouveau avec lui sur un certain nombre de sujets. Après quoi, il rejoignit Philomène qui était assise à même le sol, l’air perdue, éblouie par la présence de Dieu.

Revenue à elle, elle lui relata juste ce que le Seigneur lui demanda de lui communiquer à l’instant, le reste devant être révélé au fur et à mesure de son évolution avec lui.
En 2005/2006, lorsqu’il finissait son cursus à l’INP, le berger AKOI Philippe avait commencé à contacter les anciens bergers et membres de collège des bergers et Diaconies afin de continuer cette belle œuvre au-delà de l’école. Car il trouvait que c’était du gâchis que de voir tous ces talents ne pas être au service de l’Evangile après les bancs. Malheureusement, les réponses évasives de ces derniers le laissaient triste et perplexe. Dans la prière, il demanda à Dieu la force de ne pas le renier une fois hors de l’école, mais de continuer son œuvre. C’est donc au cours de ces moments de prière qu’il reçut la motion de mettre sur pied la fraternité des anciens du renouveau charismatique de l’INP, laquelle fraternité serait un tremplin par rapport à ce à quoi il était appelé.

Ainsi donc, durant les vacances 2006, il convoque son collège des bergers et membres de Diaconie de l’INP maintenant à Abidjan au Sanctuaire Marial pour lancer ce projet du Seigneur. Certains frères y adhèrent sans grande difficulté. C’étaient : Bosso Yannick son numéro 2 à l’INP, Konan Tanguy, Koffi Arnaud, Yapi Inès, Coulibaly Drissa, N’Dépo Erick Philomène, Koudougnon Pacôme, le futur berger du Renouveau 2006/2007, Ouraga Valentin et la sœur Tano Ebah Monique. Mais la plupart des anciens du Renouveau et même de la Communauté catholique ne se sentait pas concernée.
Ils commencèrent les prières de façon tournante, une fois le mois (chaque 1er dimanche) chez l’un des frères.


Février 2007: Le berger Philippe se retire pendant 2 semaines pour chercher la face du Seigneur en jeûne et prière. Pendant cette retraite, il reçoit plusieurs consignes, tant au plan familial, professionnel, affectif que spirituel. C’est au cours de ce temps magnifique de consécration à son Dieu qu’il a eu la grâce d’avoir des précisions sur le fonctionnement immédiat et futur de la communauté. Notre mère, la vierge Marie, qui le visitait depuis 2002 à l’INP, lui confia très clairement la vision de son fils pour lui et l’humanité toute entière. Les prophéties de cette retraite sont encore conservées dans l’un de ses cahiers intitulé “Cahier de l’amitié entre Dieu et moi”.

Pendant les vacances 2007, soit un an après le lancement de cette œuvre, le frère Koffi Arnaud élabore les premiers drafts pour une meilleure organisation du groupe. Mais, le berger l’en dissuade, parce que n’ayant pas encore obtenu le OK du Seigneur.
Les premières missions à l’extérieur d’Abidjan vont se présenter dès 2006 (Grand-Lahou, Divo, Tabou, Aboisso, Bonoua, Ouragahio…) grâce à la présence de certains frères dans les villes de l’intérieur, notamment le berger Didier Kouadio, aujourd’hui président du Conseil des Serviteurs de la communauté.
Jusqu’en 2010, le nombre de participants aux moments de prière croît assez rapidement avec des témoignages à la gloire de Dieu le Père: de plus en plus d’anciens de l’école rejoignent le groupe ainsi que leurs familles et leur voisinage… Le groupe continue de diversifier les activités avec des moments d’égaiement (beach party, alloco party, organisation de mariages, visite aux orphelins…)


Lorsque Charles Kouadio et Fabrice Kossonou arrivent en 2008, sans hésiter, ils rejoignent, et ne sont plus jamais repartis jusqu’à ce jour (Charles était juste reparti à l’INP pour son cycle ingénieur, mais était présent à chaque congé). Il en est de même de Carine Beket en 2009 qui va nous demander de se retirer en 2016 au regard même du sacrifice que demandait l’intégration à cette communauté. C’est à cette époque que le berger Philippe a commencé à évoquer l’obtention d’instruments de musique vu l’ampleur prise par l’œuvre. C’est aussi à cette occasion que la plupart des anciens ont commencé à déserter, après avoir tous obtenu des bénédictions et élévations très remarquables dans cette communauté.


En 2010 et 2011 (de décembre à Juin), durant la crise postélectorale, le berger Charles s’est retrouvé chez le berger Philippe qui ne cessait de leur partager lui et Dosso Sythian (d’abord membre de la PPE, il deviendra par la suite le président du MICI les années qui suivirent) la vision du Seigneur qui s’était affinée, notamment s’entourer de plusieurs personnes (12 pour commencer) qui l’aideraient à bien mener cette œuvre. A ces personnes, il fallait adjoindre un contrôleur interne pour superviser les travaux ainsi qu’un chœur dynamique.

2012 : acquisition de notre premier orgue grâce à un don de 700 000 FCFA du berger Ange Kouassi qui avait rejoint la communauté en vacances 2011.

2012: entrée dans la communauté de nouvelles figures (Kevin Gougou, Aude Bosso, Dominique Doho, Anvo Jean-Baptiste, Rita Kouakou, Martial Djaké…). Mais, toutes ces personnes étaient encore sympathisantes, puisque venant occasionnellement.

En 2013, après 7 années de gestation, période au cours de laquelle le berger Philippe s’est finalement retrouvé avec la bergère Philomène (devenue entre-temps son épouse), les bergers Koudougnon Pacôme, Didier Kouadio, Charles Kouadio, Fabrice Kossonou et Ange Kouassi du fait que les autres s’étant retirés soit par contrainte de travail (berger valentin en Guinée Bissau, Théophile Mian en Allemagne, Gba Sandé à San pedro, Monique Tano au Canada…) soit parce qu’étant désormais engagés dans d’autres Diaconies (Divin Amour, Chemin Neuf, MICI…).

Au cours de ces 7 longues années où le berger Philippe continuait de demander à Dieu de lui montrer ses disciples, il n’a reçu aucune caution du Seigneur pour toutes ces personnes qu’il a lui-même écarté au fil du temps afin de faire quelque chose de nouveau.

2013 fut l’année du grand virage après 7 longues années d’attente, 7 années de patience, de persévérance, de prière, de mortification, 7 années de moqueries, d’injures, d’incompréhensions et de trahisons.

Le Seigneur, le voyant à bout de souffle va le remettre d’aplomb, plus engagé et plus zélé que jamais avec une meilleure structuration du groupe en vue de réaliser sa vision première : soulager son cœur meurtri.


En 2013, sous la direction du Saint-Esprit son consolateur et sur conseils et recommandations de son mentor et coach Daniel ACKAH fondateur du MICI, de l’ONG FEEDME et de la cité d’impact multidimensionnel HEBRON IVOIRE, le berger Philippe organise un temps de prière au sanctuaire marial d’Abidjan où cette œuvre a été lancée.
Le Seigneur lui demande ce jour-là de se laisser conduire par son Esprit parce qu’il se choisira les personnes qu’il faut en vue de l’aider dans cette tâche qu’il lui confie. Le signe qu’il lui donnait pour ces personnes serait que ceux qu’il a choisis se regrouperaient autour de lui avant le début de la prière.
Effectivement, il compta 13 personnes qui s’assemblèrent autour de lui conformément au nombre de 12 plus un contrôleur pour faire les 13 ; alors que les autres attendaient tranquillement dans la salle de prière appelée cénacle.

Le choix effectué, les nouveaux disciples étaient au nombre de 14 car ils avaient convenu le Saint-Esprit et lui de commencer par 7 piliers pour le démarrage, mais que ceux-ci seraient secondés dans la conduite de leurs tâches.


C’est le début d’une merveilleuse aventure. L’engagement de chacun est réel et il fait bon de se retrouver. La communauté croît en nombre de manière fulgurante, passant d’une dizaine de membres à près de 80 membres. Une semaine loin de l’autre est un véritable supplice.

Le groupe tout entier était encore dans l’euphorie de la nouvelle naissance, comme un nouveau converti. Tout lui réussissait, sans difficulté. Les activités s’enchaînent jusqu’en 2014 sans crainte et sans peur.
De son côté, le berger continuait de prier pour que cet engouement ne disparaisse pas. Car, il savait que Satan était tapi dans l’ombre, attendant de tenter chacun et lui faire croire que Dieu s’est trompé en le choisissant.

Déjà, en 2014, certains frères vont se retirer pour raison d’engagement dans d’autres Diaconies. Pour d’autres, le travail va avoir raison d’eux, eu égard à la distance les séparant désormais de nous. D’autres encore vont s’éloigner seuls, ayant honte d’affronter le regard des frères quant aux situations fâcheuses de péché récidiviste qu’ils traversaient.

C’est d’ailleurs un an avant cette période que le premier concile de la PPE verra le jour, traitant du changement de dénomination: il s’agissait de rompre avec l’idée selon laquelle nous devrions continuer d’évoluer sous la couverture des anciens du Renouveau Charismatique de l’INP.


Arrive 2015. Après 2 années, la foi de plusieurs commence à s’émousser. En effet, chacun est mis à rude épreuve par les différents engagements et responsabilités professionnelles et familiales. On assistera à des retards récurrents des membres aux prières, des absences justifiées ou pas (Dieu seul peut en juger). Le soutien financier des uns et des autres commence à faire défaut, car les charges seraient désormais multiples.

C’est dans ce ballotage que le berger chercha encore la voix de son Dieu qui l’a toujours conduit et en qui il a placé toute sa confiance.
Oui! Il faut revoir l’organisation pour qu’elle s’adapte parfaitement au plan d’origine qu’il lui avait communiqué sur la montagne, à savoir autant de personnes que de responsabilités à combler.


Berger Edouard est plébiscité pour l’accueil. Son entrée dans la communauté donne un coup de souffle car, son engagement et sa détermination fouettent l’égo de plusieurs et les choses s’améliorent dans une certaine mesure.
Les statuts sont révisés et mis à jour et le train PPE reprend son chemin. Mais, très vite, nous retombons dans la léthargie latente. Nous sommes à l’épreuve de la foi. Satan parvient à soulever de petites choses et les amplifie dans les cœurs pour que chacun se sente frustré au point de chercher réparation sinon il se mue en silence et refuse de s’engager, oubliant qu’il n’est pas entré dans ce groupe et dans ce collège des bergers par l’action d’un homme, mais plutôt par l’action de Dieu qui l’a choisi avant la fondation du monde, à l’image des apôtres.

Plusieurs signes de déloyauté se manifestent, mais le berger Philippe tient bon, regardant à son appel depuis 1988 et 2004 et à la croix de Jésus. Car, tout comme son maître, il doit être jugé digne de l’appel reçu en portant son fardeau, le fardeau de tout un groupe si hétérogène, jusqu’à la croix. Il supporte les médisances, les critiques, les incompréhensions, les interprétations erronées et fausses de ses dires…


Début 2016, après 3 ans, le berger Philippe se décide, sous l’action de l’Esprit-Saint, à choisir enfin quelqu’un pour conduire les activités de contrôle. Mais, que de chemin jusque-là!
En Aout 2006 donc, après 18 ans de préparation et de gestation, naissait la Pastorale pour la Propagation de l’Evangile (PPE), au Sanctuaire Marial Notre Dame d’Afrique, Notre Dame de toutes grâces.

A la suite de leur premier responsable, le berger AKOI Kouassi Philippe, ancien berger du Renouveau Charismatique Catholique de l’INP-HB, qui, depuis les débuts de son appel en 1988 avait entamé les évangélisations partout où il se retrouvait (dans son quartier à Port-Bouët commune d’Abidjan, au Lycée Scientifique, à Yamoussoukro, dans les villes de l’intérieur du pays…), la communauté va faire de l’évangélisation son principal cheval de bataille.


Grâce à l’encadrement du Père Vital AKA Kouamé du diocèse de Yamoussoukro et du frère ACKAH Bilé Daniel depuis les débuts, mais aussi du Père Jean-Marie Yoboua, la Pastorale pour la Propagation de l’Evangile a continué de progresser et de se parfaire en se dotant de textes solides et d’une structure éprouvée qui lui permet aujourd’hui de relever par la pure grâce de Dieu les challenges de son appel.

Elle continue de toujours s’émonder de ses branches et œuvres mortes qui ne porteront jamais de fruit. Aujourd’hui, son impact est réel et devrait être encore plus important dans les années à venir, si elle veut achever sa course en consolant le cœur meurtri de Jésus par ramener le cœur des fils perdus vers le Père et donner un avenir à espérer à tous.

C’est d’ailleurs la raison pour laquelle la PPE multiplie ses actions d’évangélisations dans les villes et villages, accompagnées d’actions sociales à l’endroit de la population et travaille également au rayonnement de l’Eglise partout où c’est nécessaire.


Dans son développement et sa croissance, la communauté a connu plusieurs phases au cours desquelles les statuts et règlement intérieur étaient révisés à chaque assemblée générale pour tenir compte des mutations observées et surtout de l’orientation du Seigneur pour répondre aux besoins de son peuple.

Septembre 2015 :
– Naissance du Diaconie Audit et contrôle interne et du Diaconie PPE Kids ;
– Réorganisation du Diaconie Jeunesse, accueil et loisirs et du Diaconie ; Organisation pour aboutir aux Diaconie Accueil et Organisation et Diaconie Jeunesse et loisirs ;
– Transformation du Diaconie Restauration en Diaconie de la Femme Vertueuse.
Septembre 2016 :
– Naissance du Diaconie Recherche et Financement ;
– Naissance de la Mission Gédéon.
Septembre 2017 :
– Naissance de la Fondation Ecclésia Radiorum ;
– Changement de la dénomination du Diaconie intercession pour aboutir au Diaconie Spiritualité ;
– Naissance du Diaconie des Provinces et de la Diaspora ;
– Mise en force du poste de numéro 2 dans chaque Diaconie.
Septembre 2018 :
-Naissance du Diaconie de la Planification Stratégique et de l’Expansion ;
– Naissance d’une sous-branche du Diaconie Jeunesse dénommé PPE Teens.

L’Assemblée Générale de Septembre 2019 a permis de consolider les acquis et peaufiner davantage l’organisation de la PPE. De grandes décisions relatives à l’adhésion des membres, à l’organisation de la vie des consacrés (prêtres et religieux), la redéfinition et la précision des objectifs et missions de certains Diaconies, la création de sous-Diaconie pour adresser une autre tranche de la population, la révision du règlement intérieur, etc. ont étés exposées à l’assemblée et débattues pour stabiliser pendant un bon moment la communauté en matière de textes la régissant.


La communauté a aussi été marquée par de grandes révélations qui constituent les mandats fondateurs de son fonctionnement et de sa particularité. Ces orientations stratégiques du Seigneur sont le socle même de la PPE et déterminent la foi et la conviction d’action de ses membres. Ils seront présentés un peu plus loin après la présentation.

« PPE ! Propager l’Evangile pour le salut de la multitude et la joie du ciel, là est ma raison de vivre. »

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